Avec l’évolution de l’univers digital, je pense qu’il est évident que plusieurs changements auront lieu dans tous les domaines d’activité. Le monde industriel ne sera pas épargné par cette conversion. Certains métiers disparaîtront pour donner naissance à d’autres. Ainsi, les professionnels qui oeuvrent dans cet univers devront suivre une formation continue pour s’adapter à ces bouleversements.
Les conséquences du digital sur les fonctions dans l’industrie
Bientôt une grande majorité des ouvriers et travailleurs seront remplacés par des machines. Nous assisterons à l’automatisation des emplois. Selon certains experts, avec lesquels je suis d’accord, nous n’aurons plus à faire la distinction entre le manuel et l’intellectuel.
D’ici 20 ans, environ la moitié des métiers disponibles dans l’industrie cèderont sa place à la mécanisation et aux hautes technologies. Des entreprises comme Synthes’3D jouent un rôle clé pour utiliser notamment le digital au service de la 3D.
Pourtant, en parallèle, d’autres qualifications seront contraintes de suivre un développement inévitable selon les exigences du digital. Néanmoins, ce sont généralement les tâches qui nécessitent des forces physiques qui disparaîtront.
Ascension en gamme des qualifications
Vu que l’univers du numérique est en perpétuelle évolution, tous les acteurs qui auront un rôle dans l’industrie du futur devront suivre une formation continue pour s’adapter aux changements. De cette manière, apercevoir une montée en gamme des compétences est très probable selon les experts.
Chaque personne qui travaillera dans ce nouvel univers apprendra une nouvelle culture numérique. Toutefois, un changement radical du personnel ne sera pas évident puisqu’on nécessitera encore une connaissance du métier à côté de la maîtrise du digital. En somme, le monde de l’industrie évoluera en adoptant les nouvelles techniques apportées par la nouvelle technologie et en gardant une expertise technique classique.
Nous n’aurons pas forcément besoin d’un centre de formation particulier pour passer l’apprentissage. En effet, l’entreprise elle-même peut devenir un lieu pour cela.
Étant donné la vitesse que prenne l’évolution des compétences jugées essentielles, l’agencement du travail doit permettre une formation intérieure. Pour cela, les spécialistes ont déjà commencé à mettre en place des plateformes numériques ayant pour objectif de faciliter les échanges de données. À côté de celles-ci, nous aurons également besoin d’un management plus collaboratif qui mettra en exergue les qualifications sociales plus soutenues.